jeudi 26 septembre 2019

C'est quand qu'on arrête ?


  
   Ces derniers jours, j'ai voulu savoir ce qui nous attendait avec la réforme des retraites. Conclusion : le rapport Delevoye, c'est le coup final porté à la solidarité intergénérationnelle...

=>> une analyse en BD de Emma 

 

 

 

à lire sur le blog d'Emma : https://emmaclit.com/2019/09/23/cest-quand-quon-arrete/

 ou ici en

lundi 9 septembre 2019

Nouveau site Émancipation Lyon-69


Suite à un problème informatique, le site Émancipation Lyon-69 (tendance intersyndicale)  est en reconstruction.
Le nouveau site a été ouvert  ICI :

dimanche 8 septembre 2019

Les «beautés» du modèle suédois de retraites

Par Michel Husson


Paru sur le site d'Alencontre  : http://alencontre.org/europe/suede/les-beautes-du-modele-suedois-de-retraites.html

 Le système suédois de retraites est celui qui est allé le plus loin – et depuis longtemps – dans la logique des comptes dits notionnels. Même si le système par points proposé pour la France n’en est pas un pur décalque, il se réclame des mêmes principes de contributivité et d’universalité. Le modèle suédois étant par ailleurs paré de tous les mérites, il est éclairant de l’analyser de manière détaillée et d’aller voir l’envers du décor [1].

La loi d’airain des retraites

Les réformes des retraites contiennent souvent une clause cachée, à savoir que la part des retraites dans le revenu national ne doit plus augmenter. L’adoption de cette règle, souvent baptisée soutenabilité financière, entraîne – arithmétiquement – une baisse relative de la pension, dès lors que le nombre de retraités augmente plus vite que celui des actifs (voir annexe pour une démonstration). Dès lors, quel que soit le système de retraites, les réformes ne se distinguent que par le choix des dispositifs adoptés pour faire respecter cette règle générale qui implique un appauvrissement relatif (voire absolu) des retraité·e·s.